Le Château de Raffigny a la forme d'un H, dont la façade sud avec ses deux tourelles du 16° siècle, s'offre aux regards, de la "route impériale" de Nevers à Dijon. Il a été remanié au 19° siècle.

(Propriété privée ne se visitant pas).

 

 

 

 

La chapelle du Château de Raffigny, consacrée à Sainte Barbe, date du 15° siècle.

La glacière du Château de Raffigny:

Au XVII° siècle, se répand la mode des glaces et autres rafraîchissements dans les milieux aisés. Des glacières sont alors construites dans les parcs des châteaux et des abbayes pour conserver jusqu'aux beaux jours la glace naturelle ramassée en hiver.

C'est une cuve verticale maçonnée enterrée des deux tiers environ de sa hauteur. On y entre par un sas ouvrant au nord ou à l'est. Un talus recouvre généralement la partie voûtée de la glacière pour l'isoler.

A la fin XIX° siècle, la fabrication de la glace de manière artificielle rend l'usage des glacières obsolète.

 

 

 

 

Pigeonnier du Château de Raffigny

 

 

 

 

Le Château de Saugny a été reconstruit en 1862, sur les fondations de celui qui datait du 14 ou 15° siècle.

(Propriété privée ne se visitant pas).

 

 

 


Pigeonnier du Château de Saugny

 

 

 

 

Pigeonnier du Château de Rhuère,

château qui datait du 15° siècle.

 

 

 

Vestiges du Château de Rhuère:

reste des remparts.

 

 

 

La première église datant du 12° siècle fut brûlée par les huguenots de Corbigny en 1570; reconstruite ,elle menace ruine en 1856, le projet se forme de la reconstruire;

il faudra attendre 1871 pour voir poser la première pierre (19 mai) de la seconde qui fut consacrée en 1875, dédiée à Saint Pierre-ès-Liens et à Saint Laurent.

 

 

 

 

 

Crypte se situant sous le choeur de l'église.

 

 

Presbytère, réaménagé en Multi-service municipal depuis 1993


 

 

 

 Colombier à pied dans une tour carrée de la place de l'église, reliquat de l'ancien fief, appartenant à la maison de La Perrière de Dumphlum au XVII° siècle, remarquable par l'épaisseur de ses murs.

 

 

L' école Georges GAUGEY, instituteur mort au champ d'honneur le 11 juin 1940.

(voir histoire locale: M. GAUGEY Georges)

Le bâtiment de la Mairie - Ecole a été érigé en 1846 sur les plans de l'architecte Matthieu, puis a été prolongé (partie de droite sur la photo) en 1906 sur les plans

de l'agent-voyer François Gay, afin de permettre l'accueil d'une école de filles.


 

 

 Inauguré le 1° Novembre 1924 à la mémoire des soldats

morts au champ d'honneur

entre le 02 Août 1914 et le 24 Octobre 1919,

ainsi qu'à celle des soldats morts pour la France

durant la guerre 1939- 1945.

 

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Le Monuments aux Morts
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Pierre des morts:

Pierre sur laquelle on déposait les cercueils à l'entrée de l'église

en attendant que la foule entre pour la cérémonie,

a été déplacée à l'endroit actuel en 1885.

 

 

Construit en 1899, le nouveau bureau de Poste passe du statut municipal à celui de Bureau de Poste d'Etat.

Fermé en 2003

Après travaux d'aménagement, la bibliothèque municipale (et point lecture de la bibliothèque départementale) vient occuper le local pour libérer la salle de la mairie.

 

 

 

Surnommé "le tacot du Morvan", le chemin de fer de Corbigny à Saulieu a fonctionné de 1901 à 1939. Il desservait 27 gares dont celle de Brassy-Gâcogne.

Tilleul de l'huis Boileau, planté sous Henri IV, aux dires de la tradition orale.

Arbre remarquable de l'Huis Pillavoine:

Orme lisse


 

 

 

Le moulin de la Roche

 

 

 

Four à pain construit d'après le modèle d'un four romain;

réalisé par MM Godefroy et Lenfant.

 

 

 

 La Roche:

Travail pour ferrer les boeufs, avec au second plan l'atelier du maréchal ferrant.

Le Port de la Roche:

du 16° siècle jusqu'au début du 19° siècle, Gâcogne fut un des points les plus importants de rassemblement de "bois de moule",4 à 500 décastères chaque année, qui à l'époque du "petit flot" était jeté dans l'Anguison pour amener le bois à Paris, via Clamecy.

 

 

 

Le moulin Gauthereau

 

 

 

 

 

Ancien relais de poste et "hôtel de la Poste"

Le Pont de la Reine:


Inauguré le 20 Juillet 1832.

Une souscription ayant été ouverte pour construire ce pont, la reine a bien voulu prendre part.

 

En reconnaissance, ce pont fut doté d'une plaque en marbre noir orné de l'inscription en lettres d'or : MARIE-AMELIE.