1 - L' histoire de Gâcogne en feuilletons

L'ensemble de ces documents ont paru, en supplément, dans les différents journaux de la commune,

 

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Chapitre 1 de 1855 à 1870.pdf
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Chapitre 3 de 1888 à 1906.pdf
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Chapitre 5 de 1924 à 1939.pdf
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Chapitre 7 de 1946 à 1955.pdf
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Chapitre 9 de 1965 à 1976.pdf
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Chapitre 11 de 1983 à 1992.pdf
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Chapitre 2 de 1870 à 1887.pdf
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Chapitre 4 de 1906 à 1924.pdf
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Chapitre 6 de 1939 à 1945.pdf
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Chapitre 8 de 1956 à 1965.pdf
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Chapitre 10 de 1977 à 1982.pdf
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Les personnalités remarquables de la commune

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M. DUPIN Henri-Marie
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M. PETIT Louis
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M. GAUGEY Georges
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Les "petits meurtres" de Gâcogne

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Sordide fait divers
fait divers 1855.pdf
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2 - L' Histoire de Gâcogne en images

Cadastre dit "napoléonien" de 1829 disponible sur le site des Archives Départementales de la Nièvre: lien direct; cliquer ICI

 

 

 

 Le Bourg de Gâcogne en 1829

 

 

Casquette et plaque du dernier Garde-Champêtre,André GAUTHERON ,

sur laquelle on peut lire: 

"LA LOI"

"GARDE CHAMPETRE"

de la commune de Gâcogne

La Première Guerre Mondiale à Gâcogne

1.        La mention Mort Pour la France :

Plus de 1,3 million de militaires décédés au cours de la Grande Guerre et ayant obtenu la mention "Mort pour la France" figurent dans cette base de données. A l’occasion du 11 novembre 2014 et dans le cadre du centenaire du conflit, la direction de la Mémoire, du Patrimoine et des Archives met également à disposition les 95 000 fiches des soldats n’ayant pas obtenu la mention et composant le reste du fichier général. Ces fiches correspondent en partie à des cas non instruits pour l’obtention de la mention.

La mention "Mort pour la France" est accordée, suivant certaines conditions, en vertu des articles L488 à L492bis du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de la guerre. La mention "Mort pour la France" est attribuée dès lors que la preuve est rapportée que le décès est imputable à un fait de guerre, que ce décès soit survenu pendant le conflit ou ultérieurement.

2.        Le Livre d’ Or de la guerre 1914-1918

Par la loi du 25 octobre 1919, « relative à la commémoration et à la glorification des morts pour la France au cours de la Grande guerre », l'Etat lance le projet d'un Livre d'or comprenant les noms de tous ces héros jusqu'alors anonymes, qui serait déposé au Panthéon.

Le ministère des Pensions, nouvellement créé, est chargé d'établir, à partir du fichier existant, la liste des Morts pour la France de chaque commune ; il l'adresse en 1929 aux maires qui la contrôlent et l'amendent. Des correspondances témoignent souvent de ces échanges entre les deux parties.

Toutefois, les décalages entre les noms figurant sur les monuments aux morts et ceux des Livres d'or proviennent du fait que la liste du ministère est établie en 1929 alors que les monuments aux morts ont presque tous été érigés entre 1920 et 1925.

En 1935, la présentation matérielle du futur Livre d'or est fixée : 120 volumes devaient être imprimés en plusieurs exemplaires, dont un serait déposé au Panthéon. Les contraintes budgétaires, puis le début de la Seconde Guerre mondiale, mirent fin au projet, en laissant subsister la documentation préparatoire.

3.        Les soldats de Gâcogne

Dans le tableau ci-joint, voici la liste, non-exhaustive, des soldats vivants à Gâcogne lors de leur mobilisation : Pour la plupart, nés à Gâcogne, d’autres sont issus de communes alentours, d’autres encore, sont des  « petits Paris » ou des enfants « assistés de la Seine ». Cette liste n’inclut pas les autres soldats qui, eux, ne sont pas décédés, mais sont revenus après avoir été réformés suite aux blessures : « les gueules cassées », ou sont revenus, miraculeusement, indemnes.

De petites différences apparaissent quelquefois, soit dans l’écriture des noms, soit dans les prénoms, de plus importantes aussi dans l’absence de certains sur le Monument aux Morts ou sur la plaque de l’Eglise.


ECOLE PRIVEE DE GACOGNE

 

Fut ouverte grâce à M. DUPIN Eugène : il fit don du bâtiment en 1868 à la condition que celui-ci serve d'école, qu'elle soit tenue par deux Soeurs et qu'une troisième fasse bénéficier gratuitement de ses soins les malades de la commune. (Cf le chapitre 1 de l'histoire de Gâcogne).

L'école restera ouverte, en dépit des aléas liés aux 3° et 4° Républiques en particulier, jusqu'en 1955.

L'Ecole Sainte Elisabeth : école des filles

L'Ecole Saint Jean : école des garçons

Logements des soeurs puis des instituteurs